Nous vivons au sein d’une horloge de précision hautement supérieure : la mesure du Temps, que traduit l’Espace, est inséparable des localités et déplacements des Astres à travers la Voûte céleste ; tout y est l’expression de moments, de durées, de périodes, d’époques, d’ères, d’âges, de phases, de fréquences et de cycles ; on ne peut pas comprendre l’Existence sans intégrer le fait que pour livrer les heures, les jours et les nuits, les semaines, les mois, les équinoxes et solstices, les saisons et enfin les années, les Luminaires se meuvent, chacun selon ses particularités. L’Espace et le Temps – continuellement insultés par les adorateurs du Soleil, leur héliocentrisme, leur calendrier grégorien et par ceux qui d’un dicton autant populaire que stupide en font de l’argent – sont deux manifestations intrinsèques d’un même phénomène : Æviternus, témoin de l’Esprit glorieux des Horlogers.