Il me vient trop souvent à l’esprit que l’astronomie reste, à ce jour, l’exercice visuospatial par excellence – que tout un chacun peut pratiquer dès lors que l’on possède un œil – mais qu’une entité officiant un dictat l’a pourtant rendue affaire de croyance technologique, de foi aveugle en un ordre fait d’icones élitistes et d’idéologie subventionnée, au moyen de spectacles, de divertissements et de fabulations artistiques, oblitérant et censurant systématiquement tout point de vue contraire.