Un jour, notre civilisation se souviendra que nous naissons et mourons au beau milieu d’un organisme vivant, un système de précision, une machine parfaitement intelligente, un environnement où rien n’est inutile ; et les psychés les plus brillantes, en se basant sur cette réalité fondamentale, deviendront les précurseurs d’une ère neuve dans laquelle la science est au service de la nature et non de sa destruction, pour les vivants et non pour leur avilissement, par la sagesse et non par la cupidité.